6 novembre 2010
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Certes, il ne finira pas dans un camp de rééducation cet olibrius qui ne comprends rien aux intérêts primordiaux de notre beau pays. Le pauvre, il avait du croire à la sincérité du candidat Nicolas Sarkozy qui jurait que la France, en rupture, ne se compomettrait plus avec des régimes peu fréquentables. Crier, à Nice, "Tibet Libre" à l'occasion du passage de notre excellent ami chef de l'Etat chinois mérite bien évidemment une intervention de nos forces de sécurité. Des flics plutôt sympas d'ailleurs. Si, si. La preuve ? Ils tutoient le perturbateur, en bons camarades...
Nice Tibet Libre Sarkozy Jintao 05 novembre 2010