Notre petite et sympathique Académie de Gondecourt rencontre un véritable succès. Si, si. Nous avons même des détracteurs et donc c'est vraiment le début de la gloire. Nous avons donc remis le prix 2010 à Charles Enderlin avec un grand bonheur pour saluer le courage d'un grand journaliste traqué depuis 10 ans par des extrémistes qui l'accusent de milles maux pour avoir simplement commenté la mort d'un enfant à Gaza en soulignant que les balles provenaient du côté des israéliens. Et c'est alors que le président régional du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF), Charles Sulman, s'émeut publiquement pour regretter dit-il une distinction pour une histoire"compliquée et alors que la polémique n'est pas terminée". Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose. D'abord, nous n'avons pas primé une histoire compliquée mais un livre et son auteur. Ensuite, le Docteur Sulman a beau jeu d'invoquer un polémique qui perdure puisque ce sont ses amis qui entretiennent inlassablement les plus folles rumeurs pour discréditer le journaliste. En tout cas, à l'heure où il est de bon ton de soupçonner les jurys littéraires de toutes sortes d'arrangements, on retiendra qu'en tout cas l'Académie de Gondecourt ne cède en aucun cas aux lobbies réels ou supposés...
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